Europe. Introduction.
1. Intro.
C’est drôle. La Pologne s’est offert un président populiste, issu du glorieux syndicat Solidarnosc qui fit l’admiration des foules, et l’on sait aujourd’hui les remugles qu’il cachait, ce syndicat glorieux. Attribut principal du populiste de base, la détestation de l’Europe, celle que nous aurions pu construire. Voilà les polonais qui viennent au secours des pourfendeurs d’Europe sous prétexte d’invasion par les polonais.
L’emmêlement des pinceaux atteindrait ici son comble, n’était l’étrange ressemblance des arguments populistes à travers le continent, n’était cette nouvelle forme d’internationalisme qu’est la réciproque xénophobie. Je te hais, tu me hais, nous sommes bien d’accord haïssons nous les uns les autres. Ne venez pas prétendre que vous n’êtes pas xénophobe et allier le mensonge au rejet. Vous le savez très bien, bande de nons, que la xénophobie vous emboîte le pas et que votre vague est celle qui la porte le mieux.
Ne me prétendez pas pour faire diversion chantre béat de l’aimons nous les uns les autres, ni béat ni pas béat je ne crois plus depuis longtemps à cette sornette.
Je suis parti fouiller dans mes armoires poussiéreuses et j’y ai retrouvé des textes que j’avais cru devoir écrire à l’occasion de la préparation au référendoume. J’y ai apporté quelques retouches, il faut bien se mettre au goût du jour si tant est que le jour ait un goût, que le jour ait du goût. Je les renvoie, ils sont ma bloghumeur de maintenant comme ils étaient ma forumeur d’alors. A peu de choses près. Voici.
Enfin, je dirais plutôt voilà, parce que ce sera pour l’année prochaine, bande d’impatients, la suite.
2 commentaires:
Comme d'habitude, nous sommes patients ...
Voilà voilà, j'arrive, à petit bruit à petits pas.
Comment dit-on déjà?
Oui, c'est bien ainsi qu'on le dit: bonne année, 2006, les suivantes on verra ce qu'on verra.
Enregistrer un commentaire